اخبار دولية

les fleurs du mal arabe : question palestinienne

le 7 octobre 2023, à 7 heures du matin pile, la clôture séparant Ghaza et Israël a été affranchie par des armées des Djihadiste Hamas. La riposte d’Israël se poursuit jusqu’à présent faisant couler le sang des milliers de personnes civils et enfants innocent. La saison pluviale de cet automne exceptionnel sur les terres de Ghaza a engendré des averses de missiles et roquettes ciblées sur les maisons des innocents appartenant à Ghaza.
Les raisons d’être de cette guerre ne sont pas a démontré, l’opinion publique international et national est consciente de la gravité des crimes de guerre menée par les israéliens depuis le vote du plan de partage de la Palestine via la résolution des Nations unies du 181 du 29 novembre 1947. Dès lors, Israël n’a cependant pas cessé de commettre des horreurs et crimes de guerre à l’égard des palestiniens. Son régime d’apartheid dans lequel se trouve les palestiniens ne cesse de s’accroitre jour après l’autre, sans jamais faire de demi-tour ni même d’arrêter. Le délire de s’accaparer des terres des palestiniens demeure la principale occupation des politiciens surtout avec l’avènement de Benyamin Netanyahu au pouvoir aggravant ainsi la haine publique au israéliens.
Aujourd’hui encore, un nouvel épisode sanguin est réouverte à l’initiative des appartenant au groupe Hamas qui ont décidé de dévoilant un NON public et international à l’occupation de leur propre et chère patrie par les israéliens.
Dans ce contexte d’exception, la question principalement posé par l’opinion public international et celle de l’utilité et de l’application du droit international humanitaire aux conflits armés. Les dispositifs ne manquent pas, et plusieurs textes interdisent strictement la prise intentionnelle des civils et enfants comme cible. En plus, l’intention de cibler des personnes civiles par l’une des parties au conflit ne justifie pas la riposte par l’autre qui constitue de ce fait un crime de guerre ne pouvant qu’aggraver à juste titre le conflit entre les deux belligérants.
La gestion de ce conflit s’avère très délicate, surtout qu’on assiste chaque jour à la mort des centaines de personnes innocent. C’est dans ces conditions d’exception que les mécanismes diplomatiques doivent s’appliquer pour atténuer les risques mortels qui s’aggrave jour après jour. Or, et jusqu’à nos jours, aucune action réelle n’est entreprise par un pays intermédiaire entre les deux parties qui refusent toute tentative.
Nous vivant aujourd’hui un nouveau mal, celui du revirement de la question palestinienne et de la mort inconditionnelle de nos compatriotes sur leur propre terre et patrie. Le mal malheureusement n’a fait que débuté, et les jours prochaines seraient certainement très difficile et délicate aux palestiniens qui supporteront seul et autonome les conséquences de défense de leur chère nation sainte.

Les fleurs du mal arabe : question palestinienne
Le 7 octobre 2023, à 7 heures du matin pile, la clôture séparant Ghaza et Israël a été affranchie par des armées des Djihadiste Hamas. La riposte d’Israël se poursuit jusqu’à présent faisant couler le sang des milliers de personnes civils et enfants innocent. La saison pluviale de cet automne exceptionnel sur les terres de Ghaza a engendré des averses de missiles et roquettes ciblées sur les maisons des innocents appartenant à Ghaza.
Les raisons d’être de cette guerre ne sont pas a démontré, l’opinion publique international et national est consciente de la gravité des crimes de guerre menée par les israéliens depuis le vote du plan de partage de la Palestine via la résolution des Nations unies du 181 du 29 novembre 1947. Dès lors, Israël n’a cependant pas cessé de commettre des horreurs et crimes de guerre à l’égard des palestiniens. Son régime d’apartheid dans lequel se trouve les palestiniens ne cesse de s’accroitre jour après l’autre, sans jamais faire de demi-tour ni même d’arrêter. Le délire de s’accaparer des terres des palestiniens demeure la principale occupation des politiciens surtout avec l’avènement de Benyamin Netanyahu au pouvoir aggravant ainsi la haine publique au israéliens.
Aujourd’hui encore, un nouvel épisode sanguin est réouverte à l’initiative des appartenant au groupe Hamas qui ont décidé de dévoilant un NON public et international à l’occupation de leur propre et chère patrie par les israéliens.
Dans ce contexte d’exception, la question principalement posé par l’opinion public international et celle de l’utilité et de l’application du droit international humanitaire aux conflits armés. Les dispositifs ne manquent pas, et plusieurs textes interdisent strictement la prise intentionnelle des civils et enfants comme cible. En plus, l’intention de cibler des personnes civiles par l’une des parties au conflit ne justifie pas la riposte par l’autre qui constitue de ce fait un crime de guerre ne pouvant qu’aggraver à juste titre le conflit entre les deux belligérants.
La gestion de ce conflit s’avère très délicate, surtout qu’on assiste chaque jour à la mort des centaines de personnes innocent. C’est dans ces conditions d’exception que les mécanismes diplomatiques doivent s’appliquer pour atténuer les risques mortels qui s’aggrave jour après jour. Or, et jusqu’à nos jours, aucune action réelle n’est entreprise par un pays intermédiaire entre les deux parties qui refusent toute tentative.
Nous vivant aujourd’hui un nouveau mal, celui du revirement de la question palestinienne et de la mort inconditionnelle de nos compatriotes sur leur propre terre et patrie. Le mal malheureusement n’a fait que débuté, et les jours prochaines seraient certainement très difficile et délicate aux palestiniens qui supporteront seul et autonome les conséquences de défense de leur chère nation sainte.

مقالات ذات صلة

اترك تعليقاً

زر الذهاب إلى الأعلى